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Question

aider moi svp c'est pour lundi

relevez les comparaisons dans ce texte .

sur le seuil de cette savane un l'arbre elevait il n'était pas très haut de son tronc noueux et trapu partaient comme des rayons d'une roue de longues fortes et denses branches qui formaient un parasol géant . dans son ombre la tête tournée de mon côté un Lyon était couché sur le flanc un lion dans toute la force Terrible de l'espèce et dans sa robe superbe . le flot la crinière répondez sur le mufle allongé contre le sol . et entre les pâattes de devant énorme qui jouer à sortir et a rentrer leurs griffes je vis Patricia son dos était serré contre le poitrail du grands fauves son cou se trouver à porter de la gueule entrouverte . une de ses mains fourrager dans la monstrueuse toison .
< King le bien nommé King le Roi> quel fut ma première pensée . cela montre combien en cet instant j'étais mal garder par la raison et même par l'instinct .
le lion releva la tête et gronda.
il m'avait vu . une étrange torpeur amollisait mes reflex . mais ça queue balaya l'air immobile et vint claquer comme une lanière de fouet contre son flanc. alors je cessai de trembler la peur vulgaire la peur misérable avait contracté chacun de mes muscles .
j'aperçus enfin et dans le temps d'une seule clarté intérieur toute la vérité Patricia j'étais folle et m'avait donné la folie .
je ne sais quelle grâce la protéger peut-être mais pour moi...
le lion gronda plus haut sa queue claqua plus fort . une voix dépourvu de vibration de timbres de tonalité m'aborda : < pas de mouvement pas de crainte attendez > d'une main Patricia tira violemment sur la crinière de l'autre elle se mit à gratter le mufle du fauve entre les yeux .
en même temps elle lui disait en chantonnant un peu : < reste tranquille King tu vas rester tranquille c'est un nouvel ami un ami King King un ami un ami >
elle parla d'abord en anglais puis elle USA de dialecte africains .
mets le mot revenez sens cesse . La queue menaçante retomba lentement sur le sol. le grondement morue peu à peu .
le mufle s'aplatit de nouveau contre l'herbe de nouveau la crinière un instant dresser le recouvrir à moitié , me dit la voix insonore .
J'obéis . Le lion demeurait immobile .
mais yeux maintenant ne me quittez plus . dit la voix sans résonance .
j'avançai.
de commandement en commandement , de pas en pas , je voyait la distance diminué d'une façon terrifiante entre le lion et ma propre chair dont il me semblait sentir le poids , le goût , le sang.
à quoi n'eus-je pas de recours pour m'aider contre l'eclat jeune de ses yeux fixés sur moi ! je me dis que les chiens les plus sauvages aiment écoute les enfants .

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